yoda : pour avoir les entretiens pas chers faut les faire soi-même. Je fais ce que je peux, sur les trottoirs en bas de chez moi, c'est hyper galère. Une fois j'ai renverser 2L d'huile, j'ai mis une heure à éponger, avec le stress qu'une voiture de police passe. Ces dernières se sont déjà arrêtées à deux reprises voyant que je trafiquais ma moto pour me demander mes papiers...
snowride : oui sans doute. Quelle que soit la moto entre mes mains, je conduis comme les scooteristes parisiens : une seule règle existe, perdre le moins de temps possible. C'est une conduite dégeulasse mais je ne peux pas m'en empêcher, je suis pris par l'ambiance locale
et puis sérieusement dans Paris avec les embouteillages monstrueux, les livraisons en double file, les chantiers partout et tout le temps, c'est impossible d'avancer et ça fait du bien de pouvoir aller sur la voie de bus malgré la surélévation qui nous en sépare, ou les trottoirs bien hauts, plutôt que de rester planté là à attendre placidement comme tous ces pauvres automobilistes (comment font-ils pour supporter ça au quotidien ?). Ma varadero est une véritable perçeuse d'embouteillages grâce à la hauteur du guidon qui passe au dessus de bon nombre de rétroviseurs, grâce à son rayon de braquage minuscule et grâce à sa garde au sol. Mais sur l'autoroute, toutes les caisses me doublent et je dois vérifier constament dans les rétros qu'elles m'ont bien vu, c'est fatigant et dangereux. Sans parler du temps pour doubler les camions ou pire les cars (limités à 110).