giome a écrit:Connu sous le nom d'araignée couteau au mali...
J'en garde de très mauvais souvenirs .........
Ah bon, pourquoi, c'est dangereux comme bestiole ?
Je suppose que oui vu le surnom malien...
par serpico_as » Mer 26 Aoû 2015 20:18
giome a écrit:Connu sous le nom d'araignée couteau au mali...
J'en garde de très mauvais souvenirs .........
par giome » Jeu 27 Aoû 2015 01:38
serpico_as a écrit:une paire de pattes antenniformes dites tactiles et de deux pédipalpes qui, chez le mâle, sont hypertrophiés (en effet, ceux-ci mesurent souvent plus que le double de ceux des femelles) et représentent donc un dimorphisme sexuel. Les pédipalpes se terminent par une pince préhensile. Aussi sur le céphalothorax, l'amblypyge possède deux chélicères qui lui servent pour déchiqueter ses proies
par PAF » Jeu 27 Aoû 2015 14:34
par fredetvero » Lun 31 Aoû 2015 14:37
par giome » Lun 31 Aoû 2015 22:33
par Sebzzzz » Lun 31 Aoû 2015 23:25
giome a écrit:Faut arrêter la fumette hein !?
Et c'est légèrement hors sujet.
par serpico_as » Mar 1 Sep 2015 01:03
fredetvero a écrit:Anima et Animus ou la symbolique des dents antérieures!
Chacune des dents antérieures est porteuse d'un message "symbolique" adressé a l'environnement de l'individu:
L'incisive centrale supérieure est la dent la plus visible; c'est celle qui est exposée a la "vitrine" social de chacun;elle caractérise l'image que l'on désire donner de soi-même aux autres,image de la personnalité sociale,affective,comportementale que l'on veut bien dévoiler.Elle est porteuse de" l'Animus" (masculinité),présent chez tout un chacun,homme ou femme.Plus ses dimensions sont importante,sa forme massive anguleuse, plus la personnalité concrète est affirmée.
L'incisive latérale supérieure a une position plus effacée, moins ostensiblement voyante,une forme plus élancée,plus élégante,plus douce que la centrale; Elle symbolise la vie intérieure,les aspirations profondes,les rêves non exprimés et la part "d'Anima"(féminité) du sujet.Plus sa forme la rapproche de l'incisive centrale,moins sa spécificité est marquée; ainsi,une incisive latérale trapue,aux angles vifs se retrouve chez un individu matérialiste,primaire,alors qu'une forme frêle,aux angles arrondis traduit la grâce,la douceur,la richesse intérieure.
La canine supérieure est située a un carrefour stratégique; elle participe a l'esthétique antérieure par sa moitié mésiale (mésial: qui se rapproche du milieu du visage),alors que sa moitié distale(distale: qui s'éloigne du milieu du visage),invisible en vue frontale( face a l'individu),appartient déjà au groupe postérieure(prémolaires,molaires). Cette dent symbolise l'instinct animal avec son cortège d'ambition,d'agressivité,de jouissances et de désirs.Plus ses dimensions sont importantes,sa pointe cuspidienne acérée,plus cette énergie animal sera marquée. A contrario,une pointe canine émoussée par l'abrasion traduit la sérénité de l'age mur et une forme arrondie,la douceur et l'élévation de la pensée!
par serpico_as » Mer 28 Oct 2015 19:55
Le Smegma est, de manière générale, la sécrétion d'une glande sébacée [glande dans la peau qui secrete du sébum].
Ce terme sert en particulier à désigner la substance blanchâtre et caséeuse [aspect/consistance du fromage], composée d'un mélange de débris de cellules épithéliales mortes et de sécrétions sébacées lubrifiantes, qui s'accumule souvent sous le prépuce ou dans la région vulvaire autour du clitoris, de manière plus ou moins importante selon les individus, leur âge et leurs pratiques d'hygiène corporelle.
Le smegma est produit de manière naturelle chez la plupart des mammifères, mâles et femelles — y compris les humains, par les glandes prépuciales chez l'homme et les glandes de Tyson (ou glande prépuciale) chez la femme.
Son rôle est encore mal compris. Une partie des composantes odorantes du smegma pourrait avoir eu ou avoir une fonction hormonale ou phéromonale.
Chez la jeune fille et la femme, le smegma s'accumule habituellement dans le sillon formé de chaque côté de la vulve par les petites lèvres et les grandes lèvres, ainsi que sous le capuchon du clitoris.
Il est notamment produit par les glandes de Tyson (glande prépuciale), mais modifié par le contact avec l'air, l'urine, et les sécrétions vaginales ou certains produits d'hygiène intime.
Son accumulation peut parfois induire, en le recouvrant, une diminution de la sensibilité du clitoris.
Ses fonctions sont, en complément des sécrétions vaginales et vulvaires, il servirait à nettoyer et lubrifier les organes génitaux féminins, le clitoris en particulier, tout en participant à la signature odorante individuelle.
Le contexte social victorien et hygiéniste a favorisé dans l'Angleterre victorienne puis dans une partie de l'Amérique du Nord, une « mode » consistant à circoncire les jeunes filles de bonne famille, voire à leur imposer la clitoridectomie. La littérature médicale de l'époque montre que les médecins avaient conscience de l'importance de la stimulation clitoridienne pour la femme, et cherchaient souvent à conserver le clitoris, tout en répondant à la demande des parents ou autorités de tutelle de corriger un état malsain supposé encourager la masturbation, voire la démence. Ces médecins nettoyaient le smegma, ou les adhérences entre le clitoris et son capuchon, ou procédaient à l’exérèse du capuchon (circoncision féminine) et parfois à l'ablation du clitoris (clitoridectomie) pour corriger l'instinct sexuel de jeunes filles jugées tombées dans un état tenu pour malsain par la société de l'époque, avec le risque de provoquer des infections post-opératoires graves, des séquelles physiques et en causant parfois des troubles de la sexualité féminine pour toute la vie.
Chez les hommes, la sécrétion de smegma permet ou favorise le « décollement » du prépuce par rapport au gland, solidaires dès la naissance et jusqu'à l'âge de deux à quatre ans en diminuant le risque de phimosis. Il servirait ensuite à nettoyer et lubrifier les organes génitaux masculins et la base du gland, garder son humidité, tout en participant à la signature odorante individuelle.
Chez l'animal, bien que des infections prépuciales ou du gland soient connues, le smegma semble avoir un rôle plutôt protecteur contre les microbes (on l'a même utilisé comme médicament, avec le castoréum par exemple).
par serpico_as » Sam 19 Déc 2015 10:34
La linotype, mise au point et brevetée par Ottmar Mergenthaler le 12 mai 1885, est une machine qui produit des lignes de caractères en métal. Cette combinaison de machine à écrire et de micro-fonderie, imaginée aux États-Unis en 1885, permettait une composition accélérée et plus régulière des blocs d’imprimerie qu’avec la typographie traditionnelle, qui consistait à insérer un à un des caractères mobiles (lettres, signe de ponctuation ou espaces de calage) dans une galée (plateau d'une taille légèrement supérieure à celle d'une page de livre ou de journal, utilisé par les typographes pour y déposer l'une après l'autre les lignes de caractères qu'ils ont assemblées dans leur composteur).
Elle révolutionna l'imprimerie lors de sa première utilisation en permettant un gain de temps considérable dans la composition d'un texte. Elle a été vendue à plus de 100 000 exemplaires dans le monde, jusqu'en 1976, quand l'impression au plomb fut remplacée par l'impression offset.
Le mot "Linotype" est la contraction de "Line o' type", qui est elle-même la contraction de "Line of types of characters".
par serpico_as » Dim 6 Mar 2016 14:49
Le coryphée est le chef de chœur dans la tragédie et la comédie grecque antique. Il se situe au milieu de la scène et est chargé de guider les choreutes, de prendre parfois la parole au nom du chœur et de dialoguer avec le personnage en scène qui se situe sur le proskenion (l'avant-scène).
Dans le théâtre et l'opéra, son rôle est à peu près identique : faisant partie du chœur, il s'en détache pour s'adresser au public ou aux personnages en un solo plus ou moins développé, puis rentre dans le rang.
Dans le ballet classique, un coryphée est un danseur à qui l'on confie parfois un court rôle de soliste.
par Pianographe » Lun 7 Mar 2016 15:24
serpico_as a écrit:Aujourd'hui : Coryphée[...]faisant partie du chœur, il s'en détache pour s'adresser au public ou aux personnages en un solo plus ou moins développé, puis rentre dans le rang.
Dans le ballet classique, un coryphée est un danseur à qui l'on confie parfois un court rôle de soliste.
par serpico_as » Lun 7 Mar 2016 18:06
par serpico_as » Mer 9 Mar 2016 23:10
"Licéité" est le caractère de ce qui est conforme au Droit. L'adjectif correspondant est "licite". On le trouve, par exemple, dans le titre de la note de M. Lambert-Faivre au Dalloz, 2001, n°16, p. 1265 : "La licéité des obligations d'assurance réglementaires et des limitations de garantie dans le temps et en montant ".
par Sabrrinaa » Ven 11 Mar 2016 12:19
par Pianographe » Ven 11 Mar 2016 12:37
Sabrrinaa a écrit:Today "Apocryphe"
se dit d'un texte dont l'authenticité est douteuse
par serpico_as » Ven 11 Mar 2016 20:43
Pianographe a écrit:Textes souvent publiés par des zoïles sycophantes, des panégyristes thuriféraires à l'acrimonie fielleuse.
par Sabrrinaa » Ven 11 Mar 2016 23:21
par Sabrrinaa » Mar 15 Mar 2016 17:57
par serpico_as » Mar 15 Mar 2016 18:32
par Sabrrinaa » Mar 15 Mar 2016 23:12
par Pianographe » Jeu 16 Juin 2016 17:08
par PAF » Ven 22 Juil 2016 15:43
Pianographe a écrit:Exemple : "que vos motos sont pouacres !" (oui, la tienne aussi, à toi qui lis ce message )
Vilipender est un verbe transitif qui s'apparente au fait de médire, décrier, injurier ou bafouer quelqu'un.
par Pianographe » Mar 9 Aoû 2016 14:46
par serpico_as » Mer 31 Aoû 2016 22:37