par PAF » Mar 23 Juin 2015 10:07
par PAF » Mer 24 Juin 2015 17:32
WikiPedia a écrit: Avionique : L’avionique est l’ensemble des équipements électroniques, électriques et informatiques qui aident au pilotage des aéronefs et des astronefs dans l'espace aérien ou extraplanétaire dont les conditions de pression, température, humidité sont inhabituelles pour les systèmes électriques, électromécaniques et informatiques classiques.
par serpico_as » Mer 24 Juin 2015 21:44
par giome » Mer 24 Juin 2015 22:49
par PAF » Jeu 23 Juil 2015 14:07
par Cathwoman » Jeu 23 Juil 2015 14:15
par PAF » Jeu 23 Juil 2015 14:43
Cathwoman a écrit:Et tu ne veux pas nous rédiger une petite phrase illustrant tes propos ?
C'est juste pour s'assurer qu'on ait bien compris
par Cathwoman » Jeu 23 Juil 2015 14:51
par PAF » Jeu 23 Juil 2015 15:24
Cathwoman a écrit:Je voulais que tu nous écrives quelque chose, pas que tu piques ce qu'il y avait dans le lien
par Cathwoman » Jeu 23 Juil 2015 15:26
par serpico_as » Jeu 23 Juil 2015 18:27
La 'pataphysique apparaît dans Gestes et opinions du docteur Faustroll, pataphysicien, livre écrit par Alfred Jarry en 1897-1898.
Elle est alors définie comme « science des solutions imaginaires qui accorde symboliquement aux linéaments les propriétés des objets décrits par leur virtualité ». Ces solutions imaginaires n'ont pas la généralité des théories scientifiques.
Alfred Jarry, en donne également la définition suivante dans son ouvrage : "La pataphysique […] est la science de ce qui se surajoute à la métaphysique soit en elle-même, soit hors d’elle-même, s’étendant aussi loin au-delà de celle-ci, que celle-ci au-delà de la physique.
Exemple : l’épiphénomène étant souvent l’accident, la pataphysique sera surtout la science du particulier, quoi qu’on dise qu’il n’y a de science que du général. Elle étudiera les lois qui régissent les exceptions…
Définition : la pataphysique est la science des solutions imaginaires […]".
Selon Boris Vian, diplomé du Collège de 'Pataphysique, le pataphysicien, se contente donc de « solutions particulières ». D'autre part, dans ses observations, il s'intéresse aux exceptions, puisque c'est l'anomalie qui fait avancer les idées. Il définit l'attitude pataphysicienne en ces termes : « Je m'applique volontiers à penser aux choses auxquelles je pense que les autres ne penseront pas ». Science des solutions imaginaires, science des solutions particulières, science des exceptions, autant de façons de caractériser la ’Pataphysique. Ce qu'on résume souvent en disant que « la ’Pataphysique est la Science ».
Littéralement ’pataphysique est la contraction du pseudo-grec τὰ ἐπὶ τὰ μεταφυσικά (tà epì tà metàphusiká) d'après le titre τὰ μετὰ τὰ φυσικά (tà metà tà phusiká) de l'œuvre la Métaphysique d'Aristote.
Le titre de l'oeuvre d'Aristote, la Métaphysique signifiait à l'origine « ce qui est (écrit) après (l'œuvre) la Physique ». On peut comprendre "vulgairement" la métaphysique comme étant la physique au-delà de la physique (sic).
Alfred Jarry, dans son ouvrage, développe la donc la notion de 'pataphysique comme étant « ce qui est sur la métaphysique », c’est-à-dire « ce qui est sur ce qui est après la physique ».
En bref, "La 'pataphysique est à la métaphysique ce que la métaphysique est à la physique"...
par PAF » Ven 24 Juil 2015 10:23
par serpico_as » Ven 24 Juil 2015 11:29
par Echtélion » Ven 31 Juil 2015 11:22
par PAF » Ven 31 Juil 2015 14:00
par Cathwoman » Ven 31 Juil 2015 14:26
par fredetvero » Ven 31 Juil 2015 16:53
par PAF » Ven 31 Juil 2015 16:58
fredetvero a écrit:La Galénique
C'est l'art et la science de préparer les médicaments avant leurs utilisation! Enrobage de comprimés ou gélules,solutions buvables ou orales par exemple......
par zebaronne » Ven 31 Juil 2015 19:59
par Terry » Ven 31 Juil 2015 21:03
par zebaronne » Ven 31 Juil 2015 22:14
par fredetvero » Sam 1 Aoû 2015 13:25
par serpico_as » Mer 26 Aoû 2015 16:08
Les Amblypygi, amblypyges ou phrynes sont un ordre d’arthropodes prédateurs faisant partie de la classe des arachnides.
Les amblypyges semblent tout droit sortis de la Préhistoire : animal archaïque dont plusieurs fossiles ont été découverts datant du Carbonifère, soit 359 millions d’années, les amblypyges n’ont à peu près pas subi de transformation morphologique depuis.
Ils constituent un petit ordre comparativement aux autres arachnides avec environ 170 espèces, les amblypyges sont divisés en 5 familles et 17 genres actuels.
Les amblypyges vivent en Afrique, en Amérique centrale, en Amérique du Sud, en Asie et en Europe.
La taille des amblypyges varie beaucoup, allant de 4 mm à environ 4,5 cm chez Acanthophrynus coronatus pour le corps.
Le corps de l’amblypyge, de forme aplatie, est constitué d’un céphalothorax plus large que long et d'un abdomen segmenté, de trois paires de pattes ambulatoires et d’une paire de pattes antenniformes dites tactiles et de deux pédipalpes qui, chez le mâle, sont hypertrophiés (en effet, ceux-ci mesurent souvent plus que le double de ceux des femelles) et représentent donc un dimorphisme sexuel. Les pédipalpes se terminent par une pince préhensile. Aussi sur le céphalothorax, l'amblypyge possède deux chélicères qui lui servent pour déchiqueter ses proies. D'une vision très inefficace, l’amblypyge porte deux groupes de petits yeux latéraux et une paire d'yeux médio-dorsaux.
Hygrophile, la plupart des amblypyges vivent dans les régions humides mais aussi dans les régions sèches. Ces animaux se cachent un peu partout, dans les fissures d’arbres, de rochers, dans les grottes, troncs d’arbre creux et toute anfractuosité qui peut les abriter. De couleur beige ou brunâtre, allant jusqu’au grisâtre plus ou moins nuancé, ils savent se confondre avec leur environnement.
Les amblypyges sont nomades, ils ne font pas de terrier comme les scorpions et les uropyges, ni de nid comme certaines mygales. Ils changent souvent de cachette au gré de leurs déplacements. Ils ne se déplacent qu’exceptionnellement au sol et se tiennent toujours sur une paroi quelconque.
Ce sont des animaux nocturnes et lucifuges. Exposés à la lumière, ils s’immobilisent et s’aplatissent sur le support sur lequel ils se trouvent.
Solitaires, ils restent cachés tout le jour dans leur retraite et chassent la nuit. Ils se déplacent avec leurs six pattes arrière, se servant de la première paire comme d’antennes (pattes antenniformes) ou pattes tactiles. Les amblypyges s’en servent pour la détection des obstacles et des proies.
Très craintifs, au moindre déplacement d’air, ils détalent avec une extrême rapidité. Ils se déplacent le plus souvent obliquement, à la manière d’un crabe, s’accrochant à toute surface.
Quelques espèces, comme Phrynus marginemaculatus et Damon diadema, montrent des signes grégaires.
Ils se nourrissent d’arthropodes variés et chassent des proies plus petites qu'eux : blattes, criquets, grillons, et tout ce qui est saisissable par leurs pédipalpes. Il n’est pas rare de les trouver, la nuit, sur les murs d’habitations.
Munis de puissants pédipalpes (pattes-mâchoires) et rapides comme l’éclair, ils saisissent brusquement leur proie qui, immobilisée, est amenée aux chélicères. Ces derniers vont broyer la proie pour en faire une « bouillie » qui sera ensuite aspirée.
Le repas terminé, ils rejettent l’exosquelette, vidé de toute substance.
Les amblypyges peuvent se passer de nourriture pendant des semaines si nécessaire, comme dans le cas de l’accouplement.
par giome » Mer 26 Aoû 2015 18:58