par PAF » Lun 24 Mar 2014 22:08
par PAF » Mer 2 Avr 2014 00:16
par serpico_as » Mer 2 Avr 2014 20:01
par PAF » Mer 2 Avr 2014 20:32
par Talike » Lun 7 Avr 2014 20:53
par PAF » Lun 7 Avr 2014 22:24
par serpico_as » Lun 7 Avr 2014 23:05
par Talike » Lun 7 Avr 2014 23:21
PAF a écrit:Une petite source ?
par PAF » Mar 8 Avr 2014 13:27
Talike a écrit:PAF a écrit:Une petite source ?
partout sur le net
par serpico_as » Jeu 10 Avr 2014 20:53
Hématurie : Présence de sang dans les urines émises lors d’une miction. L’hématurie macroscopique : est visible à l’œil nu. L’hématurie microscopique est définie par ≥ 5–10 hématies/mm3, à toujours confirmer par un ECBU (examen cytobactériologique des urines).
par PAF » Ven 11 Avr 2014 15:38
par marloch » Ven 11 Avr 2014 20:29
par PAF » Ven 11 Avr 2014 21:43
par serpico_as » Ven 11 Avr 2014 23:04
par ildottore75013 » Sam 12 Avr 2014 00:33
PAF a écrit:Alcoolique !
Merci pour cette petite définition
(manque les sources, toujours)
par marloch » Dim 13 Avr 2014 10:14
par serpico_as » Ven 25 Avr 2014 21:57
Les Incoterms (contraction de l'expression anglaise International commercial terms) sont des termes normalisés qui servent à définir les « droits et devoirs » des acheteurs et vendeurs participant à des échanges internationaux et nationaux. La règlementation applicable est édictée et publiée par la Chambre de commerce internationale à Paris. La dernière réglementation, entrée en vigueur au 1er janvier 2011, s'appelle Incoterms® 2010.
Les Incoterms s'expriment par une abréviation anglophone en trois lettres suivies de trois petits points. Les trois petits points définissant le lieu exact où s’applique la règle Incoterms négociée, cette précision géographique est très importante. La version de la réglementation doit aussi être mentionnée : ICC 2000 ou Incoterms® 2010.
Rôles des Incoterms :
- Première fonction : dans le cadre de contrats de commerce internationaux et nationaux, ces termes définissent les responsabilités et les obligations d'un vendeur et d'un acheteur, notamment en matière de chargement, de transport, de type de transport, des assurances et de la livraison. Il s'agit donc aussi d'une répartition des frais de transport.
- Le deuxième rôle est de déterminer le lieu de transfert des risques, c'est-à-dire le lieu à partir duquel sera défini qui du vendeur ou de l'acheteur aura à supporter l'avarie en cas de mauvaise exécution du transport. Le lieu de transfert de risque correspond également au lieu de livraison de la marchandise.
Les règles Incoterms définissent les obligations de livraison qui incombent, en termes de délai, au vendeur.
Exemple : CIP Tunis, avec expédition au plus tard de France le… (date au plus tard à indiquer). Dans ce cas, en CIP, la livraison est réputée avoir lieu lors de la remise de la marchandise au premier transporteur, c'est-à-dire à sa remise au commissionnaire en France, et non à Tunis.
- La troisième fonction concerne la fourniture des documents et des informations. Qui, du vendeur ou de l'acheteur doit fournir quel document ? Cette fonction prend toute son importance en ce qui concerne la sûreté. La règle générale de fourniture et, surtout, de responsabilité des informations liées à la sûreté définie par les règles Incoterms est simple. Chacun, le vendeur et l'acheteur, est responsable des informations qui vont lui être utiles.
Attention, les Incoterms ne définissent pas le moment du transfert de propriété, mais seulement le moment du transfert des risques liés au transport, des différents frais et de l’organisation du transport. Ils définissent notamment qui de l'acheteur ou du vendeur doit, éventuellement, supporter l’assurance du transport des marchandises. En termes de contrat d'assurance, les règles ne les définissent que dans deux cas, CIP et CIF. Dans tous les autres cas, souscrire une assurance est de la responsabilité de qui supporte le risque.
Il s'agit d'un ensemble de règles mis à jour au fur et à mesure de l'évolution du commerce mondial et qui permet à l'acheteur et au vendeur de se mettre d'accord rapidement et sans ambiguïté sur les modalités de la transaction.
Les règles Incoterms évoluant avec le temps, les parties qui les utilisent sont invitées par la Chambre de commerce internationale à faire référence à l'année d'édition de la version qu'ils veulent utiliser.
Règles Incoterms ICC 2010 utilisables pour tous les modes de transport
EXW : Ex Works, au départ non chargé, non dédouané sortie d'usine (uniquement adapté aux flux domestiques, nationaux) ;
FCA : Free Carrier, marchandises dédouanées et chargées dans le pays de départ, chez le vendeur ou chez le commissionnaire de transport de l'acheteur ;
CPT : Carriage Paid To, livraison au premier transporteur, frais jusqu'au déchargement du mode de transport, sans assurance pour le transport ;
CIP : Carriage and Insurance Paid to, idem CPT, avec assurance marchandise transportée souscrite par le vendeur pour le compte de l'acheteur ;
DAT : Delivered At Terminal, marchandises (déchargées) livrées sur quai, dans un terminal maritime, fluvial, aérien, routier ou ferroviaire désigné (dédouanement import, et post-acheminement payés par l'acheteur) ;
DAP : Delivered At Place, marchandises (non déchargées) mises à disposition de l'acheteur dans le pays d'importation au lieu précisé dans le contrat (déchargement, dédouanement import payé par l'acheteur) ;
DDP : Delivered Duty Paid, marchandises (non déchargées) livrées à destination finale, dédouanement import et taxes à la charge du vendeur ; l'acheteur prend en charge uniquement le déchargement (si exclusion des taxes type TVA, le préciser clairement).
Ces règles sont utilisables également pour le transport maritime et/ou fluvial en vrac et/ou en conventionnel.
par serpico_as » Jeu 15 Mai 2014 14:48
La vulcanisation (ou curage) est le procédé chimique consistant à incorporer un agent vulcanisant (soufre, le plus souvent) à un élastomère brut pour former après cuisson des ponts entre les chaînes moléculaires. Cette opération rend notamment le matériau moins plastique mais plus élastique. Son nom provient du dieu forgeron romain : Vulcain.
La vulcanisation est un cas particulier de réticulation. Après polymérisation, en présence d’un système de vulcanisation et d'énergie thermique, les macromolécules linéaires de l'élastomère réactif forment un réseau tridimensionnel sans direction privilégiée. Sous une contrainte appropriée, ce réseau se déforme. Il revient à l’état initial (élasticité) quand la contrainte est supprimée, grâce à la présence des ponts (il s'en forme très peu) assimilables à des « ressorts ».
Un caoutchouc brut (cru, thermoplastique, non vulcanisé) flue au cours du temps. Si l'on en fait une bille et qu'on la pose sur un support plan, elle va s'écouler (cette expérience dure plusieurs heures). Ainsi, au premier abord, le caoutchouc peut paraître élastique et d'ailleurs la bille précédemment formée rebondit très bien. Les forces de van der Waals assurent une cohésion suffisante pour permettre une certaine élasticité.
La représentation la plus visuelle pour expliquer ce phénomène est le plat de spaghetti. Une chaîne moléculaire peut être comparée à un spaghetti. Si on a un plat de spaghettis, on ne peut pas saisir un seul spaghetti, les forces de van der Waals (forces de type électrostatique), que l'on retrouve au sein du polymère en assurent la cohésion. Toutefois, si l'on prend le temps de tirer doucement sur un spaghetti, on peut l'extraire.
Pour réduire le phénomène de fluage, accroître la cohésion et les propriétés mécaniques, on peut introduire du soufre1, associé à des activateurs et accélérateurs. Ce système est mélangé au caoutchouc, et la cuisson apporte l'énergie nécessaire à l'établissement des liaisons chimiques entre le soufre et les sites réactifs des chaînes moléculaires. Cela permet donc le pontage et ainsi une cohésion durable du caoutchouc. Le mécanisme de vulcanisation avec le soufre est complexe. Le dosage du soufre est essentiel : trop de soufre et le caoutchouc ne sera plus élastique (trop de chaînes polymères seront liées ensemble, ce qui donne à la limite de l'ébonite), pas assez de soufre et la cohésion sera insuffisante. L'introduction d'un excès de soufre diminue, à terme, l'effet des forces de van der Waals2.
C'est le cœur de l'art et la science de la fabrication des pneumatiques, mais aussi de la fabrication de la plupart des becs de clarinette et saxophone taillés dans l'ébonite.
Identifier l'inventeur du processus de la vulcanisation n'est pas facile. L'Américain Charles Goodyear est généralement crédité comme le premier à avoir découvert le concept de base en 1839 par sérendipité. Il relate l'histoire de sa découverte dans son autobiographie Gum Elastica.
De l'autre côté de l'Atlantique, Thomas Hancock, un scientifique et ingénieur britannique, a mieux compris le processus que Charles Goodyear, qui ne l'a jamais bien cerné. Mais à côté de cela, Thomas Hancock s'est inspiré des premiers échantillons de Charles Goodyear.
Thomas Hancock est le premier à avoir déposé un brevet sur la vulcanisation du caoutchouc le 21 mai 1844. Trois semaines plus tard, Charles Goodyear dépose un brevet aux États-Unis.
En 1850, l'américain Hiram Hutchinson achète le brevet de Charles Goodyear sur les perfectionnements apportés à la confection de bottes, chaussures et souliers en latex. Il démarre la fabrication à Châlette-sur-Loing. La Compagnie européenne de caoutchouc souple produit à grande échelle des chaussures et des vêtements imperméables. La marque À l'Aigle est déposée en 18533.
La première marque à utiliser cette technique en habillement est Puma qui, dès 1960, s'en sert dans l'élaboration des chaussures de sport.
par PAF » Jeu 15 Mai 2014 15:01
par serpico_as » Ven 16 Mai 2014 09:58
par serpico_as » Ven 16 Mai 2014 11:35
De l’arabe بغل, beḡel (« mulet »), via l’argot militaire.
Dérivé de l'ancien français brael ou braiel, « ceinture, lien », lui-même venu de braie. (xix e siècle)
brêler /bʁe.le/ ou /bʁɛ.le/ transitif 1er groupe (conjugaison)
Effectuer un brêlage ou un brellage. Attacher, fixer fermement un chargement par des cordes.
par PAF » Ven 16 Mai 2014 14:36
par serpico_as » Lun 19 Mai 2014 13:49
par serpico_as » Mar 27 Mai 2014 16:06
Pièce est un mot qui a des quantités de sens, de la pièce d'un logement, la pièce de monnaie, le morceau (de tissu, de puzzle...) ou encore la pièce d'artillerie, celle de théâtre ou celle à conviction (cette liste est loin d'être exhaustive).
Autrefois, on désignait aussi la "dame de compagnie", celle qui faisait payer l'utilisation de ses charmes, par "la pièce de campagne"' ou, pour signifier "longtemps", on disait plutôt "bonne pièce".
[...]
Eh bien cela vient du XIXe siècle, à une époque où, dans certains métiers, les employés étaient payés non pas à l'heure ou au mois, mais à la pièce produite (pratique qui existe encore de nos jours, même si elle n'est pas très répandue).
Celui qui était aux pièces était celui qui pouvait travailler suffisamment vite pour produire beaucoup de pièces et, ainsi, s'assurer un salaire décent.
Par extension, hors du contexte d'emploi et de salaire, celui qui est aux pièces est celui qui est pressé.