Déjà 2e sortie de l'année, j'enchaine les balades comme les perles dans le but, ben j'sais pas trop !
pour vérifier que par de telles températures je n'ai pas, définitivement, de matériel adapté pour mes doigts boudinés.
La semaine dernière j'avais souffert quelque fois, ce vendredi j'ai été à l'aise quelque fois.
Après m'être tâté longuement, pour espérer de nombreuses supplications réclamant ma présence, tout penaud devant tant d'indifférence, je décide d'en être
en raison de l'annonce d'une courte balade à ne surtout pas mettre dehors un Biker sur sa HD.
Nous voila donc 4 au point de RV, avec un peu de soleil, malheureusement ce dernier nous fuira le reste de l'après midi. Malgré tout, les routes empruntés de l'Ouest et du Nord d'IDF sont sèches et le rythme bucolique :
"Les Bucoliques sont un recueil du poète latin Virgile, paru en -37. Elles sont composées de dix pièces rédigées en hexamètres dactyliques. Virgile est le premier auteur latin à adopter cette forme poétique: il s’inspire d’un auteur grec du IIIᵉ siècle av. J.-C., Théocrite. Virgile les composa entre -42 et -39. Ces églogues sont de courts dialogues entre bergers, sur le modèle de la poésie pastorale grecque, quoiqu'à ces imitations soient mêlées quelques allusions aux événements politiques contemporains: ainsi, dans la quatrième églogue, le poète annonce un nouvel Âge d'or, glorifiant Auguste, le futur empereur, dont il attend l'instauration d'une ère de paix."
préserve un tant soit peu nos mimines du froid polaire, bordel de merde, que nous sommes obligés d'endurer.
Oui ben j'suis frileux et donc...
Au KM 70 environ, sur la centaine prévue, notre GO décide d'une pause, que personnellement j'attendais avec impatience, d'où ma notion des KM parcourus.
Après cette pause, le reste du parcours sera plus roulant, et nous avons pu admirer à 2 reprises une volée de volatiles d'un bleu du plus bel effet, notamment lors de la dislocation où nous n'avons pas trop trainé. Habituellement c'est l'humain qui effarouche les oiseaux, et dans ce cas d'espèce c'était l'inverse.
Je remercie N°7 pour cette initiative, et surtout pour sa modération sur la longueur de la balade
, ni trop peu, ni trop long.
je n'oublie pas mes 2 autres comparses, dont un qui a sans doute eu encore plus froid que moi en raison de gants chauffants, ne chauffant pas.
A plus tard au Printemps.
Vivons heureux en attendant la mort ! (P. Desproges)